“Road-trip mutant car échappant aux étiquettes, ce nouvel opus se présente néanmoins comme du “wild folk”(…) Le cinéma enrobe les compositions de France. Un titre de son album se réfère explicitement au Only lovers left alive de Jarmusch, mais c’est bel et bien à David Lynch que renvoie, depuis toujours, l’univers “strange world” de la musicienne.”
Un très grand merci au magazine Longueur d’Ondes qui consacre deux pages à Orpheon dans son numéro de printemps et à Jean Thooris pour les mots et Christophe Crénel pour les photographies !
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Précision très importante : ce manteau est bien évidemment en fausse fourrure. Pour rien au monde je ne porterai sur moi la souffrance d’un animal.